Les pratiques narratives ont été développées par deux psychologues australiens et nord-américains, Michael White et David Epston dans les années 1980.

 

Leur approche considère que notre identité se construit au travers de nos relations et des histoires racontées à notre sujet. Chacun se raconte des histoires sur soi, sur les autres et sur le monde. Lorsqu’elles sont figées, ces histoires nous enferment et restreignent nos capacités à tisser de nouveaux liens, de nous surprendre, de nous réinventer. Les pratiques narratives ouvrent le champ des possibles en s’intéressant aux détails de nos expériences et leurs nombreuses potentialités de signification. 

 

À travers des conversations structurées nous accompagnons nos clients à déconstruire leurs auto fictions ou leurs récits limitants et à tisser de nouvelles versions de soi plus ouvertes, plus libératrices.

 

L’écriture est le moyen de révéler nos autres visages, de dessiner mille et un chemins alternatifs. Le passage à l'écrit s'utilise indifféremment selon les situations, en fin de conversation, en clôture d’un coaching individuel ou collectif, en support au travail de médiation ou de transition.